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Ana me controle

13 juin 2019

Le jeudi 30 mais j'arrive donc dans le soit

Le jeudi 30 mais j'arrive donc dans le soit disant meilleur hopital de France pour traiter l'anorexie. Les infirmièreset aides soignantes sont désagréable, me gronde en permanenance. A mon arrivé je souhaite defaire ma valise mais une aide soignante arrive dans ma chambre et m'ordonne de me remettredans mon lit et de ne pas bouger, devant mes parents. Ils sont choqués par l'inhumanité des personnes de cet hopital. Une infirmière vient me perfuser (perfusion de vitamine pendant 24h) puis me faire un prise de sang qu'elle rate, résultat une veine pété et 35 min pour réussir à avoir du sang. On vient ensuite me rebrancher ma sonde et on m'xplique que désormait je serrait brancher toute la journée, que je n'ai pas le droit de pouger de mon lit, pas le droit d'être debout, pas le droit d'avoir de téléphone ouordinateur, pas le droit de parler aux autres patients... je me rends vite compte que je suis dans une prison ou encore une ferme où l'on gaveles ois! Les médecins m'explique qu'il veulent me faire prendre entre 700g et 1kg par semaine, ils me disent aussi que leur but et de me faire prendre du poids le plus vite possible et de me renvoyer chez moi ! Je trouve ça horrible et inhumain. Les toilettes sont fermées en permanence et pour pouvoir y avoir accès il faut sonner et demander un infirmier et ou aide soignant et ca peut prendre 45 min, or lorsque l'on est anorexique tous nos muscle fonde ainsi que les muscle pour uriner ... il est donc arrivé que , à cause de la lenteur du personnel, je commence à me faire pipi dessus ! c'est humiliant !IMG_0708

Chaque jour je suis seule, terriblement seule, personne ne me parle enfin si les medecins 15 min par jours ! Avant d'arriver à Guarche j'arrivais encrore à manger des legumes mais arriver là bas on me dit qu'il faut que je manger une compote ( avec sucre ) et un yahourt... chose qui me font trop peur pour le moment. On ne me laisse donc pas manger, je n'ai le droit que à la sonde toute la journée et à un bol de café le matin! Je tourne en rond , le premier jour je fais un bracelet brésilien et au moment de couper le fils je m'entaille profondément le doigt ! J'ai demander toute la journée à ce que l'on vienne me soigner, j'ai pissé le sang toute la journée et au bout de 13 longs heures on est venue me donner un pansement. Les journées sont longues, mes parents mon pris un abonnement pour la télé (qui est d'ailleur super chère!!!) mais la plus part du temps elle ne marche même pas, donc je fais des mot croisés et je lis .... c'est ennuyant ! Le weekend arrive et papa et maman sont censés venir me voir diamnche. Mais tout ne va pas se passer comme prévu !IMG_0710

A cette époque je pocédais deux téléphone : un pour appeler envoyer des sms et aller sur interenet, l'autre pour la musique et les jeux. Le soir on nous donnait pendant 2h notre telephonne mais celui pour ma musique je l'avait en permanance. Le vendredi soir j'ai échangé les deux téléphones afin d'avoir accès à internet toute la journée, je ne l'ai même pas utilisé pour parler avec qui que ce soit , seulement pour faire du shopping! Le probleme c'est que le samedi après midi une nouvelle infirmière abominable à découvert ma supercherie et m'a donc senctionné, elle ne voulaut pas que je puisse avoir mes deux heures de téléphone avec ma famille le soir ! Mais mes parents devait venir le lendemain me voir , ils allaient faire plus de 400km de route il fallait que je les appelle ! De plus dans l'apres midi j'avais vidé ma poche de nutrition antérale et remplacé par de l'eau et une infirmière l'avait remarqué et grondé !!! Je n'en pouvait plus de cet endroit, tous s'écroule autour de moi, je ne sais plus quoi faire et je me pose des questions sur la vie, sur mon avenir, j'aimerais que tout s'arrete ...IMG_0711

Le dimanche 3 juin à 14h je me reveille dans une nouvelle chambre, je ne voit que le plafond, je suis attachée !!! Je suis en faite en réanimation intubée, attachée avec des contentions aux bras et aux jambes !! quand j'ouvre les yeux je voit mes parents en pleurent au dessus de moi ... je me souviens peu à peu, à 21h la nuit d'avant je ne supportais plus ma vie et j'ai decidé d'ingurgier tous les medicaments que j'avais mis de coté depuis le tout debut de mes hospitalisations, j'y avais laissé un moment :" je ne fais que des conneries je ne peux plus me regarder dans un mirroire adieu". C'est l'équipe du soir qui m'a retrouvé inconsciente dans mon lit, je ne respirais plus donc ils m'ont intubé et comme tout personnes entrain de mourir je me vidais dans mon lit ... j'ai fraulé la mort mais apres 17h de coma je me suis réveillée.

IMG_0712Ce jour la j'ai dormi presque toute la journée dû à tous les medicaments que j'avais ingurgité, j'ai quand même essayé de parler un petit peu avec mes parents grace à un ardoise avec des lettres de marqués dessus... mais bon avec les mains attachées ce n'est pas facile. La sonde urinaire que l'on m'avait instalé quand j'était inconsciente m'a été retiré. L'effet des médicaments c'est peu à peu estompé et le soir je n'ai pas réussis à dormir... toute ;la nuit je suis restée éveillé, branchée à un respirateur, et devant devant faire pipi dans un bassin. Le lendemain tout un groupe de medecin et d'étudiant sont venus voir mon extubation, j'ai l'impression d'être une bète de cirque. Après mon extubation j'ai du mal à parler, ma gorge est habimée , le kiné est venue plusieurs fois dans la journée pour m'aider à libérer les secretions dû à l'intubation. Le 5 juin j'ai eu le droit de me lever de mon lit pour la première fois, c'est difficile mais ca fait du bien, je peux faire ma toilette seule hors de mon lit, et je peux faire pipi assis dans ma chambre. L'équipe médicale est passée et m'a annoncé que je devrais retourné en bretagne dans un service de psychiatrie pour faire une évaluation ! J'ai envie de pleurer, je ne veux pas aller en psychiatrie , je ne suis pas folle , je ne vois pas pourquoi une jeune fille de 18 ans devrait aller en psychiatrie.

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Je suis restée quelques jours au service de réanimation. Le 6 juin on m'a annoncé que je devais retourné dans le service précedant... je suis démoraliséecar tous le monde est super gentil avec moi ici, j'ai même put eu avoir la visite de ma marraine et de sa soeur ! A mon retour dans l'unité on m'annonce que je suis désormlais en chambre blanche... c'est un chambre où on ne me laisse que un pyjama et un livre, je n'ai pas le droit à mon carnet pour écrire et on vient même visser mes fenêtres ! je dois faire pipi devant le personnel soignant et même ma douche est surveillée, on me regarde on me controle! Le 8 juin c'est le jour de mon départ pour la psychiatrie en bretagne, une ambulance doit venir me chercher à 11h, mon papa et mes soeurs m'attenderont à mon arrivée. Avant de partir une aide soignante vient rincer ma sonde mais en appuyant trop fort elle casse l'embout !! Pas le temps de la changer, les ambulanciers sont là...

 

 

 

 

 

 

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10 juin 2019

Le 16 avril 2018 j'entre alors à la clinique

Le 16 avril 2018 j'entre alors à la clinique saint Yves de Rennes pour la première fois. Je rencontre une équipe médicale adorable, et ma nouvelle chambre. Ce millieu ne fait pas du tout hopital, je me sens beaucoup mieux ici et mon éspoir de guérir était de plus en plus présent... du mois c'est ce que je pensais. Je rencontre mon nutitioniste qui m'annonce qu'il souhaite baisser mes apport par sonde à 750 et seulement la nuit desormait. Je suis hyper heureuse je n'attendais que ca que l'on me baisse ma sonde. Dans cette clinique je vois mon nutritioniste une fois par semaine, une dieteticienne deux fois par semaine pour organniser mes repas, un psychiatre une fois par semaine et une psychologue. De nombreuses activitées sont proposées comme les arts créatifs, la balnéo, le kiné, des ateliers autour de l'alimentation, de la danse, de la relaxation... malheureusement à mon entrée a la clinique je suis jugée trop faible et beaucoup d'activité me sont interdite (les activité sportive). Néanmoins je ne participe pas non plus aux autres activités car je suis encore tres renfermé et je ne souhaite voir personne.

A mon arrivé on éffectue une fouille de mes affaires et un listing où toutes mes affaires sont notées. Beaucoup de chose sont interdites, comme les objets coupant, les bouteilles d'eau, les téléphone ... J'ai le droit à une télé, à mes crayon et mon cahier de dessin, et à mes livres. Très vite je décors ma chambre avec beaucoup de coloriage et d'origamis. La clinique oblige 3 semaines de séparation familiale. Je n'ai le droitde voir personne et ne peux pas avoir accès aux reseaux sociaux. Je suis très isolée et ne parle pas à beaucoup de monde, mais malgrés ca certaine fille atteinte de la meme maladie que moi decide de venir me parler ou de me donner des petits mots... c'est tres reconfortant !

Les semaines passes mais je n'arrive pas à accepter la prise de poids, à chaque kilo pris je m'effondre en pleure et reste enfermé dans ma chambre toute la journée. Je commence donc à me gaver de laxartif et à vider ma poche de nutrition antérale pour ne pas grossir. Durant mon hospitalisation à la clinique je vais passer de 35kg à 32,8kg. Face à la situation, mon médecin nutritioniste me parle de m'envoyer en psychiatrie car je ne veux pas guérir et pas parler. Le monde s'éffonde autrour de moi ... je ne suis pas folle je n'ai rien à faire en psychiatrie !! Il decide alors d'augmenter ma sonde à 1500cal progressivement et de me la mettre 24/24H comme avant. Il decide aussi de fermer la salle de bain de ma chambre afin que je ne puisse plus trafiquer ma sonde. Je fais de l'hypoglycémie tout les jours, on me place donc un capteur de glycemie sur le bras. A chaque fois que ma glycémie était en dessous de 0,60 on m'obligeait à prendre un verre de jus d'orange ou un gateau. J'avalais cela en un long moment et en pleurant. Mon corps à peu à peu commencé à se degrader, mon dos s'éfritait à chaque mouvement dans mon lit, j'avais des début d'escars, on m'a donc mis un matelas à air spécial pour éviter que je n'ai trop mal.

Apres 3 semaines de séparation familiale mes parents et mes deux soeurs sont venus me rendre visite. Ils me disent que je suis tres blanche et que je ressemble à un squelet.

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Après un mois et demis d'évolution dramatique les medecins decident de contacter un autre hopital car ils ne savent plsu comment me prendre en charge. Ils veulent m'envoyer sur Paris !! La liste d'attente est normalement tres longue mais je suis passé prioritaire et ai obtenue une place en une semaine au vu de mon état tres critique.

Le 30 mai 2018 une ambulance vient me chercher à l'aube pour me transférer à Guarche, près de paris, dans cet hopital spécialisé qui fait apparement des merveilles et qui devrait me guérir. Je fais tout le trajet avec mes parents dans l'ambulance, un trajet douloureux car je ne peux pas bougé et mon coxis me fais enormement souffrir.

 

 

9 juin 2019

Le 13 mars j'arrive doinc à l'hopital où on

Le 13 mars j'arrive doinc à l'hopital où on m'annonce que je vais partager ma chambre avec un dame diabetique. On me fait un exam complet: pesé, prise de sang, glycémie, tension, temperature... Les chiffres parlent d'eu même, je pèse 34,7kg, ma glycémie est basse, ma tension tourne autour des 8 et ma temperature à 35°C. J'ai tellement froid que l'on m'apporte une deuxième couverture plus une couverture de survie. Je fais des malaises du à des chutes de tension ou de glycémie. Tous les jours mes repas se ressemble... le matin un grand café, le midi quelque legume et 2/3 d'une pomme, le soir quelque crudité et des légumes. J'essaye de suivre les cours depuis l'hopital, quelques amis et professeurs m'envois mes cours. Chaque nuit je ne dors que quelques heures, je suis épuisée ! Au vu de mon état de faiblesse, les medecins et infirmières ne m'autorisent plus à sortir de mon lit... je dois faire pipi dans un bassin et doit faire ma toilette avec une infirmière. J'ai l'impression d'avoir attérit en prison, chacun de mes gestes et controlés. Je rencontre un psychologue qui decide de me mettre sous anti-depresseur au vu de ma detresse psychique. Je ne me sens plus heureuse je ne souhaite même plus voir ma famille, je veux être seule !!!

Le 17 mars a été un jour très difficle, c'est l'anniversaire de ma soeuret je ne peut même pas être à ses cotés. J'ai l'autorisation d'aller prendre une douche aujourd'hui, je décide donc de me laver les cheveux, mais ceux ci tombent, de plus en plus, par mèche entière. Quelques amis passent me voir, mais très peu car la plus part m'ont tourné le dos quand je suis tombée malade ne comprenant pas ma maladie. A l'hopitale j'apprend à occuper mon temps, je dessine, lis beaucoup, fais du coloriage, regarde des films.

Tous les matins j'ai le droit à une cure de vitamine, de traitement psychotropes et de laxatifs... oui car mes intestins ont peu à peu arreter de fonctionné d'eux même. Je souffre chaque jour du coxis et des membres inferieux à cause de l'immobilité que l'on m'inflige. Les medecins decide d'augmenter mes apports par sonde et de me brancher 24/24H... J'ai envie de pleurer car cette sonde me fait si peur, j'ai peur de ne pas pouvoir controller ce qui entre dans mon corps !!!

Mes dessins sont de plus en plus noirs, mes relations avec ma familles sont de plus en plus difficiles. Je vis de plus en plus mal mon hospitalisation... on m'interdit de plus en plus de chose et on me met sous restriction hydrique. Durant mon séjour dans cet hopital ma nutrition par sonde sont passés de 750cal à 1500 cal par jour. Chaque kilo qui augmente sur la balance me deprime... Je decide donc de trafiquer ma sonde afin de ne pas prendre de poids, voir même d'en perdre de nouveau. Mon frère ne vient plus me voir et on ne communique que par lettre désormait.

Les résultats de mes prises de sang sont catastrofiques, mon fois et mes reins sont en train de mourir, mon teuax de globules blanc est tellement bas que je suis placé en chambre d'isolement. Plus personne ne peut venir me voir sauf mes parents et les medecins mais avec des blouse et des masques.

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La psychologue m'ajoute des traitement, neuroleptique, anxyolitique, somnifère... mais j'ai tellement peur de grossir avec ces medicaments que je decide de les cacher et de ne pas les prendre. Mes relations avec les medecins ne sont vraiment pas bon, je ne prend pas de poids et ils me prennent la tête toute la journée... je n'ai pas envie de guérir! J'aurais passé au total 5 semaines dans cet hopitales où je n'ai pas pris un gramme ... J'ai ensuite été transféré dans une clinique spécialisé, la clinique saint Yves où je place tout mon éspoir pour être comprise et espérer guérir ! 

9 juin 2019

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8 juin 2019

Le 27 fevier 2018 je suis entrée pour la première

Le 27 fevier 2018 je suis entrée pour la première fois en hopitale de semaine, l'unité de nutrition clemenceau à l'hopitale ponchaillou de Rennes. C'est un lieu dans l'hopital où les patients sont hospitalisé 3 à 5 jours par semaines plusieurs fois dans le moi. Je ne me sentais pas à ma place, dans cette unité car j'etais hospitalisée avec des obèses et nos repas étaient pris en commun. Je n'arrivais plus à manger, donc le dernier jour, la nutritionniste a décidé de me poser une sonde gastrique.

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Je pesais 37,5kg. Ce jour la j'ai pleuré tellement la sonde me faisait mal, dès que je deglutissais la sonde m'irritait le nez et la gorge. On a commencé par me passer 250 calories en plusieurs heures. 250 !! c'était quasiment l'équivalent d'une journée de nourriture pour moi. Le 2 mars je suis retournée à la maison et une équipe est venu installée le materiel nécessaire pour ma sonde chez moi dans ma chambre. Chaque matin et chaque soir un infirmier passais pour brancher et débrancher ma sonde. Les apport agmentait tout les deux jour. de 250 on est passé à 500 puis à 750... mais je ne les supportais pas et j'ai donc trouvé le moyen de traffiquer ma sonde afin d'avoir le moins d'apport possible. J'ai donc continué de maigrir, de m'affaiblir physiquement et moralement. Ce petit manège n'a duré que deux semaine car au vu mon état ma nutritioniste à decidé de m'envoyer à l'hopitale à temps complet...  C'est ainsi que le 13 mars je fais mon entré dans un second hopitale, l'hopitale Sud de Rennes dans l'unité de nutrition Trémolière !

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6 juin 2019

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6 juin 2019

présentation

Bonjour à toute

aujourd'hui j'ouvre ce blog pour vous faire part de mon histoire avec l'anorexie. J'ai été diagnostiqué en octobre 2017, je revenais d'un sejour d'un an au états unis où j'avais pris un peu de poid que j'ai voulu perdre, je faisais 63kg pour 1m73, ce qui n'était déjà pas énorme. J'ai donc commencé à enlevé progressivement des catégories d'aliments de mon quotidien et à faire un peu de sport. Au depart j'ai commencé par manger plus de légumes, plus de fruits, j'ai supprimé le sucre raffiné, les mauvais gras, le fromage ... Puis à la rentré de septembre 2017 j'ai voulut prouver à mes parents que l'année qu'ils m'avaient payé aux usa avait été benefique et qu'il pouvait etre fiere de moi. J'ai donc travaillé sans relache, rien n'était plus important que mes notes, certain midi j'allais reviser dans ma chambre d'internat plutôt que d'aller manger. J'ai commencé à beaucoup boir pour ne pas sentir la faim. J'ai banni de plus en plus d'aliments comme les feculents, je ne mangeais plus que des legumes, du poisson blanc et des shakers de proteine. En janvier j'avais perdu 25kg... en quelques moi. J'ai arreté de manger des fruits car ils contenaient du sucre, toutes les sources de proteines car elles contenaient trop de calorie, le matin je mangeais des crudités, le midi des legumes avec beaucoup d'eau et le soir un bouillon avec quelque legumes qui flottaient dedans. 7 litres d'eau , c'était la quantité que j'absorbais chaque jour grace à des litres de thé et de café. Au lycée les journées étaient de plus en plus dure, je tombais de fatigue, m'endormais en cour, dormais à l'infirmerie, je n'etais plus capable de monter les escalier, j'avais froid , dès que j'étais dehors le moindre petit coup de vent me faisait pleurer. En fevrier ma nutrisionniste à prit la decision de me faire arreter l'ecole. Je suivais les cours de chez moi au chaud et à mon rithme. Mes parents ne me comprenait pas, j'étais seule et tous mes amis me tournaient le dos au fur et à mesure. Mais mon état à continué d'empirer et je suis donc entrée dans le milieu hospitalié

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